On en parle dans les journaux, sur les réseaux sociaux : le LSD, la psilocybine et toute plante hallucinogène autrefois diabolisée comme dangereuse, addictive et néfaste pour l’homme revient sur le devant de la scène. Mais contrairement à l’époque des hippies, ce n’est plus pour les mêmes raisons, ni pour les mêmes usages récréatifs. Aujourd’hui, on parle de thérapies psychédéliques révolutionnaires, promettant de soigner des troubles psychologiques profonds. Alors, si les journaux en font tout un bruit, que dit vraiment la science ?

Qu’est-ce qu’une plante hallucinogène ?

Tu l’auras bien compris, une plante hallucinogène, c’est une plante qui, une fois ingérée, provoque des hallucinations visuelles, auditives ou même sensorielles. On l’associe souvent au mouvement hippie, au Summer of Love, à Woodstock, ou encore à Timothy Leary et sa célèbre phrase proclamée à Harvard dans les années 60 : « Turn on, tune in, drop out » . Pourtant, on oublie souvent les usages traditionnels de ces plantes, profondément enracinés dans les cultures d’Amérique Latine et les civilisations anciennes.

Et oui, les Incas en auraient fait usage. On a même retrouvé des fresques murales dans des cavernes, témoignant de l’utilisation de ces plantes pour entrer en contact avec des divinités. Historiquement, leur consommation n’était pas récréative, comme chez les hippies, mais thérapeutique, souvent dans des contextes religieux ou idéologiques.

Le chamanisme, par exemple, repose encore aujourd’hui sur l’utilisation de plantes hallucinogènes au cours de rituels, comme les célèbres cérémonies d’ayahuasca, de mezcal ou d’ibogaïne. Dans les cultures d’Amérique Latine, ces substances étaient réservées aux cérémonies sacrées et aux curanderos (chamans ou guérisseurs). Ces derniers consommaient la plante — souvent sous forme de breuvage — pour communiquer avec les anciens curanderos ou avec la plante elle-même, qui leur donnait des indications sur la manière de soigner le patient.

Mais attention, le malade lui-même ne consommait jamais de plante hallucinogène. Elle était strictement réservée aux chamans, qui, après de longues périodes d’isolement dans la jungle pour se connecter aux esprits des plantes, devenaient aptes à soigner les blocages mentaux ou énergétiques à l’origine de la maladie. Car dans ces cultures, toute maladie physique était perçue comme le reflet d’un mal-être psychologique ou spirituel.

Un retour en force des usages thérapeutiques

Aujourd’hui, ces utilisations thérapeutiques connaissent un regain d’intérêt. Des cérémonies, parfois clandestines, s’organisent partout : dans les pays d’origine en Amérique Latine, mais aussi en Europe et ailleurs. Ce phénomène, souvent qualifié de « renaissance psychédélique »  (Psychedelic Renaissance), attire des personnes en quête de réponses ou de solutions alternatives à leur mal-être.

Illustration abstraite et colorée représentant les hallucinations visuelles souvent expérimentées lors d'un trip psychédélique.

On entend parler de miracles : disparition de maladies chroniques, amélioration spectaculaire du bien-être mental, guérison de traumatismes, et même de dépendances éradiquées. Mais attention, la science n’en est pas encore là. Bien que prometteuse, elle reste encore dans les débuts de ces découvertes.

Dans les années 70, la recherche scientifique sur les plantes hallucinogènes, et notamment sur le LSD, a été brutalement interrompue à cause des dérives du mouvement hippie et de la mauvaise compréhension des usages récréatifs. Il a fallu attendre plus de 30 ans pour que la science rouvre ses portes à ces substances et recommence à explorer leur potentiel.

Aujourd’hui, des études commencent enfin à s’intéresser aux effets thérapeutiques des plantes hallucinogènes, mais il reste encore beaucoup à découvrir. Le chemin est encore long, mais passionnant.

La plante hallucinogène et la santé mentale : un duo prometteur

Bien qu’elle ne soit pas issue d’une plante hallucinogène, la première substance hallucinogène étudiée avant les années 70 était le LSD. À l’époque, il était utilisé comme outil pour tenter de comprendre la schizophrénie, une maladie mentale provoquant elle-même des hallucinations visuelles et/ou auditives. Quelques recherches avaient également exploré son effet sur la psychologie en général, mais rien de concluant n’a pu émerger à l’époque pour tirer des conclusions solides.

Aujourd’hui, les études récentes — beaucoup plus robustes sur le plan scientifique — offrent des perspectives encourageantes. Bien que les preuves scientifiques restent encore limitées et qu’il faille approfondir les recherches, les résultats actuels montrent un potentiel prometteur pour certaines problématiques psychologiques spécifiques :

  • Anxiété de fin de vie : liée au cancer ou à d’autres maladies graves, plusieurs études ont démontré un mieux-être psychologique après la consommation de substances hallucinogènes. 

  • Dépression : des essais cliniques ont montré une réduction notable des symptômes.

  • Anxiété : notamment dans le cadre de troubles généralisés ou sociaux.

  • PTSD (trouble de stress post-traumatique) : des recherches montrent une amélioration significative des symptômes chez des patients résistants aux traitements classiques.

  • Addictions : alcool, tabac, opiacés, les premières études suggèrent une aide pour briser les cycles de dépendance.

Cependant, à ce jour, nous manquons encore de preuves suffisantes pour affirmer l’efficacité des plantes hallucinogènes ou des substances psychédéliques pour d’autres problématiques psychologiques. La recherche avance, mais il reste un long chemin à parcourir pour comprendre pleinement leur potentiel thérapeutique.

Zoom sur les substances phares issues de plantes hallucinogènes

Psilocybine : la renaissance des champignons magiques en thérapie

La psilocybine, c’est cette fameuse substance qui, une fois ingérée, se transforme en psilocine dans l’estomac et provoque des hallucinations. C’est l’image classique des « champignons magiques » que beaucoup se font en tête. Ces champignons peuvent être consommés sous diverses formes : frais, séchés, en breuvage ou même intégrés dans du chocolat. Bien qu’il existe différentes variétés de champignons magiques, la substance responsable de ces « trips » est toujours la psilocybine, que l’on retrouve dans plusieurs espèces à travers le monde.

Son mode d’action ? Elle agit sur les récepteurs de la sérotonine (mais je t’en parle plus en détail dans une section suivante). Une fois consommée, les effets de la psilocybine durent généralement entre 2 et 5 heures, offrant une expérience intense mais relativement courte comparée à d’autres substances psychédéliques. Ce qui rend la psilocybine particulièrement populaire par rapport à d’autres plantes hallucinogènes, c’est son omniprésence : elle pousse naturellement dans des environnements humides et boisés dans de nombreuses régions du globe. Et désormais, grâce à des kits de culture disponibles en ligne, il n’est même plus nécessaire de partir à l’aventure dans les bois, au risque de cueillir le mauvais champignon.

Par ailleurs, la psilocybine est l’une des substances hallucinogènes les plus étudiées et « validées » scientifiquement, aux côtés du LSD. De nombreuses recherches se concentrent sur cette molécule, ce qui explique pourquoi les fameuses études sur les plantes hallucinogènes se penchent souvent sur ces champignons magiques.

Ayahuasca : le breuvage sacré 

L’ayahuasca, c’est ce breuvage brun-noir, à la consistance légèrement visqueuse, qui autrefois semblait mystérieux mais dont on entend aujourd’hui de plus en plus parler. La substance active présente dans ce mélange est la DMT (diméthyltryptamine), une molécule qu’on retrouve également dans d’autres plantes ou même dans le poison de certaines grenouilles.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’ayahuasca n’est pas une plante hallucinogène à proprement parler, mais une décoction à base de racine de Banisteriopsis caapi, mélangée à une autre plante, la chacruna (Psychotria viridis). Ce mélange agit de manière synergique : sans la racine, la DMT contenue dans la chacruna ne pourrait pas être digérée correctement, mais ensemble, elles provoquent des effets psychotropes puissants. Ces effets, souvent intenses, durent généralement environ 6 heures, offrant une expérience prolongée qui permet aux participants de plonger profondément dans leurs visions et introspections.

Originaire d’Amérique Latine, et plus précisément des jungles de la forêt amazonienne, l’ayahuasca est considérée comme une plante sacrée dans ces régions. Elle est utilisée depuis des générations par les chamans pour ses pouvoirs de guérison et ses effets spirituels. Chaque année, des milliers de personnes du monde entier voyagent au Pérou, en Colombie ou dans d’autres régions d’Amérique Latine pour participer à des cérémonies traditionnelles et tenter de soigner leurs maux sous la guidance de chamans expérimentés.

Un chaman en tenue traditionnelle lors d'une cérémonie sacrée avec l'ayahuasca, une plante hallucinogène utilisée pour la guérison spirituelle.

Par ailleurs, l’ayahuasca a également traversé les frontières grâce à des cercles religieux. Pendant des années, certaines organisations spirituelles ont importé ce breuvage depuis l’Amérique Latine vers les États-Unis, où il est parfois toléré par le gouvernement dans un cadre strictement religieux. 

L’ibogaïne : un espoir pour traiter les addictions

L’ibogaïne est une substance active issue des plantes de la famille Iboga, originaires d’Afrique. Elle se distingue des autres plantes hallucinogènes par la durée exceptionnelle de ses effets : les trips provoqués par l’ibogaïne peuvent durer plusieurs jours, ce qui en fait l’expérience la plus longue parmi les substances psychédéliques naturelles.

Cette molécule suscite un intérêt croissant pour son potentiel thérapeutique dans le traitement de la toxicomanie (des addictions). Bien que son mécanisme d’action ne soit pas encore entièrement compris, les résultats observés sont prometteurs. Certaines études et témoignages suggèrent qu’elle pourrait aider à briser les cycles de dépendance, notamment pour les opiacés, l’alcool ou d’autres substances.

Malgré sa notoriété moindre par rapport à l’ayahuasca, l’ibogaïne attire des personnes en quête de guérison, notamment celles souffrant de graves addictions. De nombreux voyageurs se rendent dans des pays où son usage est autorisé, souvent dans un cadre rituel ou thérapeutique, pour explorer son potentiel pouvoir de transformation.

La mescaline : un cactus puissant 

La mescaline est une substance psychédélique naturelle que l’on retrouve dans certains cactus, comme le peyotl, originaire d’Amérique centrale et plus particulièrement du Mexique. Ce psychotrope est utilisée depuis des siècles dans des rituels spirituels et cérémonies sacrées par les peuples autochtones de la région.

Traditionnellement, la mescaline est consommée sous forme de breuvage, souvent préparé comme un thé à partir des boutons séchés du cactus. Ses effets psychédéliques, puissants et prolongés, peuvent durer jusqu’à 12 heures, offrant une expérience intense d’introspection et de connexion spirituelle.

Cette plante a également traversé les frontières et a été utilisée aux États-Unis dans divers rites religieux, où son usage est parfois toléré dans des contextes spécifiques, notamment par certaines communautés spirituelles amérindiennes.

Cette plante est, elle aussi, très populaire et attire de nombreux voyageurs en quête d’introspection ou simplement curieux d’explorer ses effets. Le Mexique, ainsi que d’autres pays où son usage est toléré, devient une destination prisée pour ceux qui souhaitent plonger dans les contrées profondes de leur subconscient. 

Plante hallucinogène et neurosciences : comment ça fonctionne ?

Bien que les recherches sur le sujet se multiplient, notre compréhension des effets des substances psychotropes sur le cerveau en est encore à ses débuts. Ce que nous savons déjà, c’est que ces substances agissent de manière relativement similaire : elles ciblent principalement les récepteurs sérotoninergiques (5HT2A) dans le cerveau. Un récepteur sérotoninergique quesaco?

La sérotonine, c’est un neurotransmetteur essentiel dans ton cerveau, souvent surnommé le « messager du bonheur ». C’est grâce à lui que tu ressens une sensation de bien-être, et, à l’inverse, c’est son dysfonctionnement qui peut conduire à des troubles comme la dépression. Si la dopamine est associée au plaisir, la sérotonine, elle, est la clé du bonheur et du bien-être mental. Quand il y a un problème avec la sérotonine, comme un déficit ou une mauvaise régulation des récepteurs, cela peut entraîner une dépression clinique. C’est d’ailleurs sur ces récepteurs que les antidépresseurs agissent.

Cependant, une plante hallucinogène ne fonctionne pas comme des antidépresseurs. Bien qu’elle cible la même famille de récepteurs, elle a un effet très différent. C’est également pour cette raison qu’il est déconseillé de combiner antidépresseurs et substances hallucinogènes : l’interaction entre les deux peut être problématique.

Ces substances provoquent des hallucinations, que ce soit les yeux ouverts ou fermés, et elles ont souvent un effet empathogène. Cela signifie qu’elles induisent une sensation profonde d’amour, de bienveillance envers les autres, et, surtout, envers soi-même. Cette petite voix critique, celle qui te harcèle à longueur de journée, se tait enfin, laissant la place à un sentiment de paix et d’acceptation.

Visualisation des connexions cérébrales sous l'effet de la psilocybine.Par G. Petri, P. Expert, F. Turkheimer, R. Carhart-Harris, D. Nutt, P. J. Hellyer et F. Vaccarino.

Image tirée de l’étude « Homological scaffolds of brain functional networks » par Giovanni Petri et al., publiée dans le Journal of the Royal Society Interface (2014)

Les plantes hallucinogènes permettent également de voir les situations et problèmes sous un autre angle. Comme tu peux le voir sur l’image ci-dessus qui illustre ce qu’il se passe dans le cerveau quand on ingère la psilocybine. À gauche, le cerveau dans un état normal présente des réseaux neuronaux bien organisés, appelés « hubs neuronaux », avec peu de connexions entre eux. À droite, sous l’effet de la psilocybine, ces réseaux deviennent intensément interconnectés, mais de manière non aléatoire, formant de nouvelles structures organisationnelles.

C’est grâce à ces nouvelles connexions que l’on peut aborder des problèmes différemment, voir les choses sous un autre prisme, ou même avoir des compréhensions profondes et inattendues. Ces changements sont rendus possibles par l’intense communication entre les réseaux cérébraux.

Ces images ont été obtenues grâce à une étude menée par des chercheurs (Giovanni Petri et ses collègues) à l’aide d’une IRM fonctionnelle (fMRI), offrant un aperçu fascinant de l’impact des substances psychédéliques sur le cerveau et sur notre manière de penser.

Je ne vais pas entrer dans les détails complexes du fonctionnement exact de ces substances dans le cerveau et de leur pharmacologie— cela nécessiterait un article dédié. Mais maintenant, tu as une base pour comprendre le mécanisme des plantes hallucinogènes et de leurs homologues synthétiques.

Les risques et limites des thérapies basées sur la plante hallucinogène

Tu as peut-être entendu des histoires effrayantes de bad trips ou de personnes sautant par la fenêtre en croyant qu’elles pouvaient voler. Bien que le bad trip soit réel et puisse être une expérience cauchemardesque, ces récits sensationnels sont souvent exagérés ou déformés. La réalité ? Les substances psychédéliques, y compris celles issues de plantes hallucinogènes, sont parmi les drogues les moins dangereuses lorsqu’elles sont utilisées dans un contexte approprié. Elles ne provoquent ni dépendance, grâce à leur tolérance très élevée, ni effets néfastes avérés sur la santé physique. Si tu veux en apprendre plus à ce sujet, je te conseille vivement de lire le livre de David Nutt et de Michael Pollan. 

Lire le livre de David Nutt

Lire le livre de Michael Pollan

Au contraire, dans un environnement sûr et encadré, elles peuvent favoriser des connexions inédites entre différentes zones du cerveau, menant parfois à des effets thérapeutiques profonds et immédiats.

Cela dit, elles ne sont pas adaptées à tout le monde. Par exemple :

  • Les personnes souffrant de dépression traitée avec des antidépresseurs ne doivent pas en consommer, en raison d’interactions potentielles.

  • Les personnes ayant des antécédents familiaux ou personnels de psychose, schizophrénie ou autres troubles psychiatriques graves courent un réel risque de déclencher une crise ou de « réveiller » une maladie latente.

Un bad trip : traumatisant, mais pas insurmontable

Ces substances, bien que prometteuses, ne doivent pas être prises à la légère. Un bad trip mal encadré peut être traumatisant pour certains. La plupart des gens finissent par s’en remettre seuls et, avec du recul, peuvent même en tirer des leçons bénéfiques pour leur bien-être. Cependant, d’autres en gardent un mauvais souvenir durable. C’est pourquoi il est préférable de consommer ces substances dans un contexte thérapeutique, sous la supervision de professionnels formés, capables d’aider à surmonter les moments difficiles.

Image déformée d'un visage multiplié, évoquant la confusion et l'anxiété ressenties lors d'un bad trip lié à des substances psychédéliques.

Le rôle clé du « set » et du « setting »

Impossible de parler de substances hallucinogènes sans mentionner l’importance du « set » et du « setting ».

  • Le « set » fait référence à ton état psychologique : ton humeur, tes intentions, et ton niveau de préparation mentale.

  • Le « setting », quant à lui, désigne l’environnement dans lequel tu consommes ces substances.

Un cadre hostile ou un état de profond mal-être peuvent facilement conduire à un bad trip. Bien que cela puisse parfois être recherché dans des contextes de guérison et d’introspection, vivre cette expérience seul ou dans un cadre festif peut être très mal vécu.

En somme, ces substances ne sont pas anodines. Pour en maximiser les bénéfices tout en limitant les risques, elles doivent être prises dans des conditions appropriées, avec une intention claire et un environnement sécurisé.

Plante hallucinogène : une révolution ou un simple effet de mode ?

Cet article a été plutôt introductif, mais j’espère avoir pu t’éclairer sur les principes de base concernant les plantes hallucinogènes. Tu es maintenant armé pour en discuter lors de ton prochain dîner de famille. Et qui sait ? Peut-être qu’un de tes cousins a déjà testé l’une de ces substances lors d’un voyage au Pérou !

Blague à part, il reste encore un long chemin à parcourir en termes de recherche scientifique. Pour ma part, ce sujet a fait l’objet de ma thèse de fin d’année, mais sous un angle légèrement différent : j’ai exploré leur potentiel pour stimuler la créativité plutôt que leur usage en thérapie. Fascinée par ces plantes, j’ai suivi des cours spécifiques sur les drogues et les substances hallucinogènes à Maastricht et en Belgique. À Maastricht, j’ai eu la chance d’être formée par l’une des leaders mondiales dans la recherche scientifique sur ces substances. Cela m’a permis d’approfondir mes connaissances sur leur fonctionnement et leur potentiel prometteur.

Je ne doute pas que ces plantes pourraient révolutionner certaines approches thérapeutiques. Et dans un futur, je l’espère, nous verrons des thérapies sérieuses et bien encadrées proposer des solutions durables au mal-être de nombreuses personnes.

Pour l’instant, les preuves scientifiques restent limitées, mais les résultats sont encourageants pour les problématiques suivantes :

  • Dépression
  • Anxiété
  • PTSD (trouble de stress post-traumatique)
  • Addictions
  • Anxiété de fin de vie

J’ai bon espoir que, dans les années à venir, d’autres problématiques viennent s’ajouter à cette liste. Ce champ de recherche est encore jeune, mais il regorge de promesses qui méritent d’être explorées.

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